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Bienvenue à la maison

Paris, juin 2020. Il se trame quelque chose derrière la façade bleu roi du 2 bis rue Caumartin. Et pour cause. Notre nouveau repère de maître-maroquinier vient de voir le jour. Porte d’entrée passée, les arômes de cuir se mêlent au parfum du bois de chêne. Tous les sens sont sollicités. La lumière chaleureuse invite même à se poser pour bouquiner. Plus qu’une nouvelle boutique, ce lieu est un nouveau concept.





En collaboration avec le studio Be-Pole et l’architecte Antoine Ricardou, nous avons imaginé cette nouvelle boutique comme une porte d’entrée sur notre univers et notre savoir-faire centenaire. Tables d’atelier, mobilier en chêne, assises couvertes de velours, et sol en Terrazzo, le tout ponctué de rappels de bleu. Bienvenue dans l’antre des belles matières et de la maroquinerie bien finie. Notez les meubles inspirés par les bouquinistes de Seine. Un clin d’œil à Paris, cette ville qui nous est chère pour y avoir remporté le prix d’argent à l’exposition universelle de 1900. Mais ce n’est pas tout.




Sold out



Valentin Abad



Valentin Abad

Nous aimons beaucoup chiner des œuvres dans les ateliers de nos artistes préférés. L’un d’entre eux s’appelle Valentin Abad, artiste invité de notre campagne de saison. Rencontre avec l’artiste dans son atelier à Montreuil, où il se consacre à la sculpture et à l’amour des matériaux bruts.

Nous aimons beaucoup chiner des œuvres dans les ateliers de nos artistes préférés. L’un d’entre eux s’appelle Valentin Abad, artiste invité de notre campagne de saison. Rencontre avec l’artiste dans son atelier à Montreuil, où il se consacre à la sculpture et à l’amour des matériaux bruts.

Né à Paris d’un père photographe et d’une mère designer textile, Valentin a grandi avec une sensibilité pour le monde des arts, qu’il étudiera avant d’exercer en tant que photographe.

Né à Paris d’un père photographe et d’une mère designer textile, Valentin a grandi avec une sensibilité pour le monde des arts, qu’il étudiera avant d’exercer en tant que photographe.

L’artiste est née à Arles, a grandi en Provence, avant de partir pour Paris, puis Londres, avant de revenir en France pour ouvrir sa propre imprimerie. Elle s’intéresse alors à l’illustration d’intérieur, peint et dessine du mobilier qu’elle imagine prendre vie. « J’ai rapidement eu envie de continuer avec la conception de véritables objets » et la voici qui commence à mêler ses talents pour la broderie et le dessin. De retour dans son Sud natal, Sarah s’active au fond de son atelier.



Valentin Abad

Valentin Abad

Nous aimons beaucoup chiner des œuvres dans les ateliers de nos artistes préférés. L’un d’entre eux s’appelle Valentin Abad, artiste invité de notre campagne de saison. Rencontre avec l’artiste dans son atelier à Montreuil, où il se consacre à la sculpture et à l’amour des matériaux bruts.

Nous aimons beaucoup chiner des œuvres dans les ateliers de nos artistes préférés. L’un d’entre eux s’appelle Valentin Abad, artiste invité de notre campagne de saison. Rencontre avec l’artiste dans son atelier à Montreuil, où il se consacre à la sculpture et à l’amour des matériaux bruts.

Né à Paris d’un père photographe et d’une mère designer textile, Valentin a grandi avec une sensibilité pour le monde des arts, qu’il étudiera avant d’exercer en tant que photographe.

Nous aimons beaucoup chiner des œuvres dans les ateliers de nos artistes préférés. L’un d’entre eux s’appelle Valentin Abad, artiste invité de notre campagne de saison. Rencontre avec l’artiste dans son atelier à Montreuil, où il se consacre à la sculpture et à l’amour des matériaux bruts.

Né à Paris d’un père photographe et d’une mère designer textile, Valentin a grandi avec une sensibilité pour le monde des arts, qu’il étudiera avant d’exercer en tant que photographe.

Né à Paris d’un père photographe et d’une mère designer textile, Valentin a grandi avec une sensibilité pour le monde des arts, qu’il étudiera avant d’exercer en tant que photographe.

Né à Paris d’un père photographe et d’une mère designer textile, Valentin a grandi avec une sensibilité pour le monde des arts, qu’il étudiera avant d’exercer en tant que photographe.



Valentin Abad

Nous aimons beaucoup chiner des œuvres dans les ateliers de nos artistes préférés. L’un d’entre eux s’appelle Valentin Abad, artiste invité de notre campagne de saison. Rencontre avec l’artiste dans son atelier à Montreuil, où il se consacre à la sculpture et à l’amour des matériaux bruts.

Né à Paris d’un père photographe et d’une mère designer textile, Valentin a grandi avec une sensibilité pour le monde des arts, qu’il étudiera avant d’exercer en tant que photographe.

L’artiste est née à Arles, a grandi en Provence, avant de partir pour Paris, puis Londres, avant de revenir en France pour ouvrir sa propre imprimerie. Elle s’intéresse alors à l’illustration d’intérieur, peint et dessine du mobilier qu’elle imagine prendre vie. « J’ai rapidement eu envie de continuer avec la conception de véritables objets » et la voici qui commence à mêler ses talents pour la broderie et le dessin. De retour dans son Sud natal, Sarah s’active au fond de son atelier.


Quand as-tu commencé ?

À la naissance de mon premier fils, je ressentais un réel besoin de créer mes propres œuvres. Je me suis installé dans mon garage et je me suis lancé dans la sculpture et les installations. Cela fait maintenant bientôt six ans, et tout a changé l’année dernière quand j’ai remporté le concours Jeune Création. Les choses se sont rapidement mises en place par la suite, j’ai enchaîné des expositions et de nombreux projets, dont cette chouette collaboration avec Le Tanneur.

À la naissance de mon premier fils, je ressentais un réel besoin de créer mes propres œuvres. Je me suis installé dans mon garage et je me suis lancé dans la sculpture et les installations. Cela fait maintenant bientôt six ans, et tout a changé l’année dernière quand j’ai remporté le concours Jeune Création. Les choses se sont rapidement mises en place par la suite, j’ai enchaîné des expositions et de nombreux projets, dont cette chouette collaboration avec Le Tanneur.


À la naissance de mon premier fils, je ressentais un réel besoin de créer mes propres œuvres. Je me suis installé dans mon garage et je me suis lancé dans la sculpture et les installations. Cela fait maintenant bientôt six ans, et tout a changé l’année dernière quand j’ai remporté le concours Jeune Création. Les choses se sont rapidement mises en place par la suite, j’ai enchaîné des expositions et de nombreux projets, dont cette chouette collaboration avec Le Tanneur.



Peux-tu nous en dire plus sur tes Œuvres-Sensibles ?


Quand as-tu commencé ?

À la naissance de mon premier fils, je ressentais un réel besoin de créer mes propres œuvres. Je me suis installé dans mon garage et je me suis lancé dans la sculpture et les installations. Cela fait maintenant bientôt six ans, et tout a changé l’année dernière quand j’ai remporté le concours Jeune Création. Les choses se sont rapidement mises en place par la suite, j’ai enchaîné des expositions et de nombreux projets, dont cette chouette collaboration avec Le Tanneur.

À la naissance de mon premier fils, je ressentais un réel besoin de créer mes propres œuvres. Je me suis installé dans mon garage et je me suis lancé dans la sculpture et les installations. Cela fait maintenant bientôt six ans, et tout a changé l’année dernière quand j’ai remporté le concours Jeune Création. Les choses se sont rapidement mises en place par la suite, j’ai enchaîné des expositions et de nombreux projets, dont cette chouette collaboration avec Le Tanneur.



Peux-tu nous en dire plus sur tes Œuvres-Sensibles ?

Qu’est-ce qui te différencie en tant qu’artiste ?

J’essaie de matérialiser les choses impalpables, des choses difficilement interprétables, notamment les sentiments. J’aime leur donner une forme, ou vie à travers des œuvres matérialisant ces émotions. L’humanité, l’imperfection sont au cœur de mes réflexions, j’aime quand les formes ont des aspérités, qu’elles interpellent.

Peux-tu nous en dire plus sur tes Œuvres-Sensibles ?


Qu’est-ce qui te différencie en tant qu’artiste ?

J’essaie de matérialiser les choses impalpables, des choses difficilement interprétables, notamment les sentiments. J’aime leur donner une forme, ou vie à travers des œuvres matérialisant ces émotions. L’humanité, l’imperfection sont au cœur de mes réflexions, j’aime quand les formes ont des aspérités, qu’elles interpellent.

Qu’est-ce qui te différencie en tant qu’artiste ?

J’essaie de matérialiser les choses impalpables, des choses difficilement interprétables, notamment les sentiments. J’aime leur donner une forme, ou vie à travers des œuvres matérialisant ces émotions. L’humanité, l’imperfection sont au cœur de mes réflexions, j’aime quand les formes ont des aspérités, qu’elles interpellent.



Et toi, quel tissu utilises-tu pour tes nappes ?

J’aime chiner des draps anciens. Je les trouve plus beaux et plus résistants. Même si certains ont plus de 100 ans, ils ont fait leurs preuves et peuvent encore servir un bon moment. Cela me prend du temps de les trouver, inspecter, sélectionner, mais c’est une matière que je trouve vraiment noble. Leur passé ne fait qu’apporter de la valeur et de l’authenticité à mes œuvres. Text

Pourquoi le bois ?

J’ai commencé par le bois, car c’est un matériau noble et beau avec une belle texture. J’ai aussi toujours été bricoleur et avec cette matière, le résultat est brut et immédiat. Pas de cuisson, pas de soudure, tu peux facilement le travailler et obtenir un résultat d’une grande sensibilité.


Pourquoi le bois ?

J’ai commencé par le bois, car c’est un matériau noble et beau avec une belle texture. J’ai aussi toujours été bricoleur et avec cette matière, le résultat est brut et immédiat. Pas de cuisson, pas de soudure, tu peux facilement le travailler et obtenir un résultat d’une grande sensibilité.

Et toi, quel tissu utilises-tu pour tes nappes ?

J’aime chiner des draps anciens. Je les trouve plus beaux et plus résistants. Même si certains ont plus de 100 ans, ils ont fait leurs preuves et peuvent encore servir un bon moment. Cela me prend du temps de les trouver, inspecter, sélectionner, mais c’est une matière que je trouve vraiment noble. Leur passé ne fait qu’apporter de la valeur et de l’authenticité à mes œuvres. Text

Quels sont les liens que tu perçois avec la maroquinerie ?

Tout est dans le façonnage de la matière. En sculpture comme en maroquinerie, il faut partir d’un élément beau mais brut, de sorte à arriver au résultat recherché. La comparaison entre mon travail et la maroquinerie s’arrête au moment des finitions : quand de mon côté je travaille le côté imparfait et bancal, la maroquinerie va bien au-delà.

 

Que peux-tu nous dire sur ces stèles ?

C’est avant tout beaucoup de recherches. Il fallait trouver le juste équilibre dans les dimensions. Et puis il y a la notion d’équilibre asymétrique qui est intéressante, ces dents imparfaites sculptées en diagonales. Certaines stèles sont symétriques, mais j’ai pris encore plus de plaisir avec les formes asymétriques, elles entraînent le regard ailleurs et elles ouvrent un nouveau champ.

 

Et toi, quel tissu utilises-tu pour tes nappes ?

J’aime chiner des draps anciens. Je les trouve plus beaux et plus résistants. Même si certains ont plus de 100 ans, ils ont fait leurs preuves et peuvent encore servir un bon moment. Cela me prend du temps de les trouver, inspecter, sélectionner, mais c’est une matière que je trouve vraiment noble. Leur passé ne fait qu’apporter de la valeur et de l’authenticité à mes œuvres. Text



Quels sont les liens que tu perçois avec la maroquinerie ?

Tout est dans le façonnage de la matière. En sculpture comme en maroquinerie, il faut partir d’un élément beau mais brut, de sorte à arriver au résultat recherché. La comparaison entre mon travail et la maroquinerie s’arrête au moment des finitions : quand de mon côté je travaille le côté imparfait et bancal, la maroquinerie va bien au-delà.

Qu’as-tu aimé dans cette collaboration ?

J’ai beaucoup aimé la liberté totale accordée à mon travail, le fait d’avoir carte blanche. Dans cette collaboration, on ressent le profond respect de la Maison pour le travail de l’artiste, et c’est un réel plaisir pour moi de travailler ainsi.



Quels sont les liens que tu perçois avec la maroquinerie ?

Tout est dans le façonnage de la matière. En sculpture comme en maroquinerie, il faut partir d’un élément beau mais brut, de sorte à arriver au résultat recherché. La comparaison entre mon travail et la maroquinerie s’arrête au moment des finitions : quand de mon côté je travaille le côté imparfait et bancal, la maroquinerie va bien au-delà.

Qu’as-tu aimé dans cette collaboration ?

J’ai beaucoup aimé la liberté totale accordée à mon travail, le fait d’avoir carte blanche. Dans cette collaboration, on ressent le profond respect de la Maison pour le travail de l’artiste, et c’est un réel plaisir pour moi de travailler ainsi.



Et toi, quel tissu utilises-tu pour tes nappes ?

J’aime chiner des draps anciens. Je les trouve plus beaux et plus résistants. Même si certains ont plus de 100 ans, ils ont fait leurs preuves et peuvent encore servir un bon moment. Cela me prend du temps de les trouver, inspecter, sélectionner, mais c’est une matière que je trouve vraiment noble. Leur passé ne fait qu’apporter de la valeur et de l’authenticité à mes œuvres. Text

Qu’as-tu aimé dans cette collaboration ?

J’ai beaucoup aimé la liberté totale accordée à mon travail, le fait d’avoir carte blanche. Dans cette collaboration, on ressent le profond respect de la Maison pour le travail de l’artiste, et c’est un réel plaisir pour moi de travailler ainsi.

Que peux-tu nous dire sur ces stèles ?

C’est avant tout beaucoup de recherches. Il fallait trouver le juste équilibre dans les dimensions. Et puis il y a la notion d’équilibre asymétrique qui est intéressante, ces dents imparfaites sculptées en diagonales. Certaines stèles sont symétriques, mais j’ai pris encore plus de plaisir avec les formes asymétriques, elles entraînent le regard ailleurs et elles ouvrent un nouveau champ.






Pourquoi faut-il dire oui à une de tes nappes ?



Qu’aimerais-tu partir explorer ensuite en tant qu’artiste ?

La pierre. J’adore la pierre. J’ai commencé à expérimenter des choses dans mon atelier, sur du marbre : on entre vraiment dans la sculpture à l’ancienne. L’idée est maintenant d’y incorporer mon approche, j’ai besoin de travailler des choses massives, il y a une forme de lâcher-prise, et j’adore ce genre de défi.

Rendez-vous dans nos boutiques du 23 mars au 24 mai 2022 pour admirer les œuvres.

Pour cette occasion, participez à notre jeu concours sur le site ou en boutique pour tenter de remporter l'une des 32 œuvres mise en jeu.

Chacune de ces pièces étant extraite de cette série exclusive Le Tanneur x Valentin Abad.